jeudi 27 novembre 2008

Les infections invasives bacteriennes de l'enfant en Afrique et Interêt de la vaccination

Manifestations hematologiques et immunologiques de la maladie lupique au Senegal

jeudi 20 novembre 2008

Atelier " Etendre les connaissances pour améliorer la sécurité des soins"

Cet atelier est organisé par l'OMS en collaboration avec le RAFT à l'occasion du Forum Ministériel Mondial sur la Recherche pour la Santé à l'hôtel Sofitel Laico, Bamako, Mali

Objectif de l'atelier :

  • Prendre conscience de la charge que représentent les soins à risque
  • Montrer qu'il est important de trouver des solutions locales et dispenser un enseignement pratique sur les moyens d’améliorer les soins grâce à un système de mesure, en s'inspirant des expériences réussies et en employant des méthodes rigoureuses mais applicables

Acceuil et introduction

  • Dr. Fatoumata Binta DIALLO, Représentante de l'OMS au Mali

Conférences

  • Alliance Mondiale pour la securité des patients. Dr. Itziar Larizgoitia
    Lien pour télécharger le support : http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Itziar.pdf
  • Les soins à risque nuisent à tous et plus particulièrement aux personnes démunies et vulnérables. Dr. David Bates et Dr. Itziar Larizgoitia
    Lien pour télécharger le support:
  • Soins à risques : l’hygiène des mains. Mettre au point des solutions efficaces au plan local grâce à un système de mesure. Dr. Benedetta Allegranzi
    Lien pour télécharger le support:
  • L’exemple du Mali : une meilleure hygiène des mains à l’Hôpital du point G grâce à un projet de démonstration. Dr. Loséni Bengaly
    Lien pour télécharger le support:
  • Pourquoi et comment mesurer les problèmes liés à la sécurité de soins?Dr Philippe Michel
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Michel.pdf
  • Comment mieux comprendre les causes des problèmes pour mettre au point des solutions? Dr. Mondher Letaief
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Letaief1.pdf
  • Intégrer la recherche sur la sécurité des soins dans l’infrastructure de recherche des services de santé. Dr Akory Ag Iknane et Mr Biramadian Diakité
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Iknane.pdf
  • Étude de cas: analyse et développement de solutions à partir de cas pratiques: (a) résultats d'une enquête epidemiologique sur la sécurité de patients (b) analyse approfondie d’un cas. Que pouvez-vous faire? Dr. Philippe Michel et Dr. Mondher Letaief
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Letaief2.pdf
  • Synthèse. Dr. David Bates et Dr. Itziar Larizgoitia

jeudi 13 novembre 2008

Ulcère de Buruli en Côte d'Ivoire

Résumé:

L’Ulcère de Buruli est une maladie infectieuse causée par une mycobactérie dénommée Mycobacterium Ulcerans. Cet agent causal est de la même famille que les bactéries responsables de la Tuberculose et de la Lèpre.L’histoire de cette maladie remonterait au 19e siècle. En effet, dès 1897 Sir ALBERT COOK, médecin britannique travaillant dans un hôpital de Kampala (Ouganda) décrit des ulcères évocateurs de l’Ulcère de Buruli (il n’y a pas de confirmation de cas).
La propagation de l’endémie est due aux modifications de l’environnement : la création de plan d’eau pour des besoins agricoles ou électriques, la déforestation, la riziculture irriguée.

Actuellement, les pays le plus touchés sont : la Côte d’Ivoire, le Benin, le Ghana.
La maladie atteint surtout les enfants entre zéro (0) et quinze (15) ans et se localise préférentiellement aux membres.
Le dépistage est généralement tardif ce qui explique les nombreuses séquelles fonctionnelles qui résultent de la maladie.
En Côte d’ivoire, plus de 2000 nouveaux cas sont régulièrement dépistés chaque année.

Le But du traitement est triple :

  • Tuer le germe
  • Cicatriser les lésions
  • Prévenir les invalidités

Les moyens sont le traitement médical (antibiotiques); la chirurgie; la rééducation
La lutte contre l’Ulcère de Buruli se fait selon plusieurs axes stratégiques :

  • Détection précoce des cas au niveau communautaire et information, éducation communication ;
  • Formation des professionnels de la santé, des enseignants et des agents de
    santé communautaire ;
  • Standardisation de la prise en charge des cas (antibiotique, chirurgie et
    prévention des invalidités);
  • Confirmation des cas au laboratoire ;
  • Renforcement du plateau technique des structures sanitaires;

Pneumopathies aigues bactériennes

Objectifs:

  • Réunir les arguments du diagnostic d’une pneumopathie aigue bactérienne
  • Identifier les facteurs de gravité
  • Conduire le traitement

Résumé:
Les pneumopathies aigues bactériennes (PAB) se caractérisent par une inflammation aigue non suppurée, d’origine bactérienne, non tuberculeuse du parenchyme pulmonaire. On abordera ici que les PAB communautaires acquises en ville ou se révélant dans les 48 premières heures d’hospitalisation.
Deux tableaux sont à reconnaître :

  • Les signes de la pneumopathie dominés sur le plan clinique par la toux, la fièvre et le syndrome de condensation, et sur le plan paraclinique par l´opacité systématisée ou non à la radiographie du thorax associée à une hyperleucocytose à la numération formule sanguine.
  • Les signes de gravité qui sont en rapport avec le tableau de détresse cardio- respiratoire aigue avec des facteurs de comorbidité dont avec au premier l’infection par le VIH.
    En absence de traitement ou sous traitement non adapté, l ´évolution peut se faire vers des complications pouvant aller jusqu'à l´ insuffisance respiratoire aigue.
    La prise charge précoce et l’accessibilité aux soins de qualité devraient améliorer le pronostic des PAB.

L ´étude des pneumopathies revêt un triple intérêt :

  • Epidémiologique. L´affection est fréquente malgré la double accessibilité diagnostique et thérapeutique. C´est la 2 cause d´hospitalisation après la tuberculose avec une incidence en augmentation depuis l´avènement de l´infection par le VIH.
  • Pronostique. Le taux de mortalité est estimé à 20% conditionné par les facteurs de risque classique auquel il faut y associer les conditions socio- économiques défavorables source de retard de prise en charge et d ´irrégularité au traitement les pays en développement.3-thérapeutique. L’antibiothérapie reste probabiliste orientée vers Streptococcus pneumonia malgré la sensibilité réduite du germe aux antibiotiques.

jeudi 6 novembre 2008

Sinusite maxillaire aigue de l'adulte

Sécurité alimentaire