jeudi 18 décembre 2008

Prise en charge de la malnutrition aigue et sevère chez l'enfant

jeudi 11 décembre 2008

Glivec et LMC : mise au point

Le fer : micronutriment essentiel

Objectifs :

  • Général : Alerter et sensibiliser les personnels de santé sur l’ampleur du problème lié à la carence en fer
  • Spécifiques:
    - Connaitre les principaux rôles du fer et le métabolisme du fer
    - Citer les principaux troubles liés à la carence martiale
    - Traiter les carences en fer

Resumé :
La carence en fer est la carence la plus répandue dans le monde. Deux milliards cent cinquante millions de personnes sont concernées, soit 1/3 de la population mondiale. Les enfants moins de 5 ans et la femme enceinte sont les plus touchés dont la majorité se trouve dans les pays en voie de développement. La carence en fer pose plusieurs problématiques :
- sa prévalence élevée malgré plusieurs décennies de lutte
- sa symptomatologie polymorphe et les signes peu spécifiques
- Il n’y a pas de bon indicateur fiable et précoce
- Les indicateurs ne sont pas accessibles surtout dans les pays en voie de développement
- Les résultats après traitement sont souvent décevants
Ces différents problèmes nous amènent à proposer une nouvelle attitude consistant essentiellement à promouvoir la prévention. Pour une meilleure efficacité, la prévention de la carence martiale nécessite une bonne connaissance des bases épidémiologiques, physiopathologiques, cliniques et thérapeutiques.

jeudi 4 décembre 2008

Vaccins et vaccination

Diagnostic des gammapathies monoclonales

jeudi 27 novembre 2008

Les infections invasives bacteriennes de l'enfant en Afrique et Interêt de la vaccination

Manifestations hematologiques et immunologiques de la maladie lupique au Senegal

jeudi 20 novembre 2008

Atelier " Etendre les connaissances pour améliorer la sécurité des soins"

Cet atelier est organisé par l'OMS en collaboration avec le RAFT à l'occasion du Forum Ministériel Mondial sur la Recherche pour la Santé à l'hôtel Sofitel Laico, Bamako, Mali

Objectif de l'atelier :

  • Prendre conscience de la charge que représentent les soins à risque
  • Montrer qu'il est important de trouver des solutions locales et dispenser un enseignement pratique sur les moyens d’améliorer les soins grâce à un système de mesure, en s'inspirant des expériences réussies et en employant des méthodes rigoureuses mais applicables

Acceuil et introduction

  • Dr. Fatoumata Binta DIALLO, Représentante de l'OMS au Mali

Conférences

  • Alliance Mondiale pour la securité des patients. Dr. Itziar Larizgoitia
    Lien pour télécharger le support : http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Itziar.pdf
  • Les soins à risque nuisent à tous et plus particulièrement aux personnes démunies et vulnérables. Dr. David Bates et Dr. Itziar Larizgoitia
    Lien pour télécharger le support:
  • Soins à risques : l’hygiène des mains. Mettre au point des solutions efficaces au plan local grâce à un système de mesure. Dr. Benedetta Allegranzi
    Lien pour télécharger le support:
  • L’exemple du Mali : une meilleure hygiène des mains à l’Hôpital du point G grâce à un projet de démonstration. Dr. Loséni Bengaly
    Lien pour télécharger le support:
  • Pourquoi et comment mesurer les problèmes liés à la sécurité de soins?Dr Philippe Michel
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Michel.pdf
  • Comment mieux comprendre les causes des problèmes pour mettre au point des solutions? Dr. Mondher Letaief
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Letaief1.pdf
  • Intégrer la recherche sur la sécurité des soins dans l’infrastructure de recherche des services de santé. Dr Akory Ag Iknane et Mr Biramadian Diakité
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Iknane.pdf
  • Étude de cas: analyse et développement de solutions à partir de cas pratiques: (a) résultats d'une enquête epidemiologique sur la sécurité de patients (b) analyse approfondie d’un cas. Que pouvez-vous faire? Dr. Philippe Michel et Dr. Mondher Letaief
    Lien pour télécharger le support: http://raft.hcuge.ch/08-11-20%20Letaief2.pdf
  • Synthèse. Dr. David Bates et Dr. Itziar Larizgoitia

jeudi 13 novembre 2008

Ulcère de Buruli en Côte d'Ivoire

Résumé:

L’Ulcère de Buruli est une maladie infectieuse causée par une mycobactérie dénommée Mycobacterium Ulcerans. Cet agent causal est de la même famille que les bactéries responsables de la Tuberculose et de la Lèpre.L’histoire de cette maladie remonterait au 19e siècle. En effet, dès 1897 Sir ALBERT COOK, médecin britannique travaillant dans un hôpital de Kampala (Ouganda) décrit des ulcères évocateurs de l’Ulcère de Buruli (il n’y a pas de confirmation de cas).
La propagation de l’endémie est due aux modifications de l’environnement : la création de plan d’eau pour des besoins agricoles ou électriques, la déforestation, la riziculture irriguée.

Actuellement, les pays le plus touchés sont : la Côte d’Ivoire, le Benin, le Ghana.
La maladie atteint surtout les enfants entre zéro (0) et quinze (15) ans et se localise préférentiellement aux membres.
Le dépistage est généralement tardif ce qui explique les nombreuses séquelles fonctionnelles qui résultent de la maladie.
En Côte d’ivoire, plus de 2000 nouveaux cas sont régulièrement dépistés chaque année.

Le But du traitement est triple :

  • Tuer le germe
  • Cicatriser les lésions
  • Prévenir les invalidités

Les moyens sont le traitement médical (antibiotiques); la chirurgie; la rééducation
La lutte contre l’Ulcère de Buruli se fait selon plusieurs axes stratégiques :

  • Détection précoce des cas au niveau communautaire et information, éducation communication ;
  • Formation des professionnels de la santé, des enseignants et des agents de
    santé communautaire ;
  • Standardisation de la prise en charge des cas (antibiotique, chirurgie et
    prévention des invalidités);
  • Confirmation des cas au laboratoire ;
  • Renforcement du plateau technique des structures sanitaires;

Pneumopathies aigues bactériennes

Objectifs:

  • Réunir les arguments du diagnostic d’une pneumopathie aigue bactérienne
  • Identifier les facteurs de gravité
  • Conduire le traitement

Résumé:
Les pneumopathies aigues bactériennes (PAB) se caractérisent par une inflammation aigue non suppurée, d’origine bactérienne, non tuberculeuse du parenchyme pulmonaire. On abordera ici que les PAB communautaires acquises en ville ou se révélant dans les 48 premières heures d’hospitalisation.
Deux tableaux sont à reconnaître :

  • Les signes de la pneumopathie dominés sur le plan clinique par la toux, la fièvre et le syndrome de condensation, et sur le plan paraclinique par l´opacité systématisée ou non à la radiographie du thorax associée à une hyperleucocytose à la numération formule sanguine.
  • Les signes de gravité qui sont en rapport avec le tableau de détresse cardio- respiratoire aigue avec des facteurs de comorbidité dont avec au premier l’infection par le VIH.
    En absence de traitement ou sous traitement non adapté, l ´évolution peut se faire vers des complications pouvant aller jusqu'à l´ insuffisance respiratoire aigue.
    La prise charge précoce et l’accessibilité aux soins de qualité devraient améliorer le pronostic des PAB.

L ´étude des pneumopathies revêt un triple intérêt :

  • Epidémiologique. L´affection est fréquente malgré la double accessibilité diagnostique et thérapeutique. C´est la 2 cause d´hospitalisation après la tuberculose avec une incidence en augmentation depuis l´avènement de l´infection par le VIH.
  • Pronostique. Le taux de mortalité est estimé à 20% conditionné par les facteurs de risque classique auquel il faut y associer les conditions socio- économiques défavorables source de retard de prise en charge et d ´irrégularité au traitement les pays en développement.3-thérapeutique. L’antibiothérapie reste probabiliste orientée vers Streptococcus pneumonia malgré la sensibilité réduite du germe aux antibiotiques.

jeudi 6 novembre 2008

Sinusite maxillaire aigue de l'adulte

Sécurité alimentaire




jeudi 30 octobre 2008

La chirurgie des sequelles de la tuberculose pleuro-pulmonaire

Apport de l'imagerie dans la neurocysticercose

jeudi 23 octobre 2008

Ictère du nouveau-né


Prévention du paludisme chez la femme enceinte

jeudi 16 octobre 2008

Les effets de la pollution domestique sur l'appereil respiratoire en milieu rural

  • Enseignante: Dr. Jocelyn RAKOTOMIZAO (HJR De Befelatanana, Madagascar)
  • Date et heure du cours: jeudi 16 octobre 2008 à 9h TU
  • Lien pour accéder au cours: http://www.dudal.net/dudal/apps/jws/uiclient?/raft/madagascar/20081016_0900
  • Auteurs: RAKOTOMIZAO Ja, RAKOTONDRAVOLA ZMa, ANDRIANARISOA ACFa RAPELANORO RABENJA Fahafahantsoab, RAZAFINDRAKOTO Willy Robinb, RATOVOHERY Andry Nirilalainab, RAOELISON Tantely Mamyb, RAJAONARIVELO Paulc
  • Objectifs pédagogiques :
    -Enumerez les symptômes respiratoires lié à la pollution domestique,
    -Connaître le simple moyen d’évaluation de la répercussion de la pollution domestique sur la fonction respiratoire
  • Introducrion: Le dégagement de fumée épaisse et âcre est responsable de 1,6 millions de décès annuels dans les pays en développement soit une vie perdue toutes les 20 secondes
    La fumée dégagée par les combustibles augmente de plus de 100% le risque de maladies respiratoires
  • Materiels et méthodes: Nous rapportons ainsi le résultat d’une étude prospective, descriptive et multicentrique, préliminaire menée en 2003 sur les conséquences respiratoires des pollutions domestiques réalisée dans certaines régions des hauts plateaux de Madagascar
    L’objectif de cette étude est d’évaluer la prévalence des symptômes respiratoires, la fonction respiratoire à partir d’un débitmètre de pointe et de rechercher les facteurs favorisants de l’apparition de ces symptômes
    La population d’étude est représentée par la population de Vinaninkarena :Ambanimaso, Mangamasoandro, Vatovory, d’Ambatondrazaka et de Tsiroanomandidy âgée de plus de 6 ans et utilise dans 86% le bois pour la cuisson et la lampe à pétrole dans 83% pour l’ éclairage
    Les paramètres de cette étude sont l’âge, le sexe, les symptômes respiratoires, le débit expiratoires de pointe (DEP).
  • Résultats: 740 ( 60,16 % )personnes sur les 1230 de la population de ces localités ont fait l’objet de cette étude avec une prédominance féminine (58,11) , l’âge de la population varie de 6 à 77 ans ( moyenne 20,77 ans).
    Nous avons constaté que 420 (56,76 %) des sujets de l’étude toussent de façon chronique, dominées par des toux grasses dans 69,04 %, elle est présente chez 68% des sujets âgés de 6 à 18 ans avec une prédominance masculine et chez 100% des plus de 65 ans à prédominance féminine.
    55 % des personnes utilisant la lampe à pétrole toussent et plus de 59% de ceux exposés aux fumées de combustions du bois toussent.
    23% de la population présentent un essoufflement d’intensité variable et le DEP est inférieur à la normale chez plus de 45 % de la population avec une incidence plus importante chez les gens exposés aux fumées de combustion de la lampe à pétrole.
    L’incidence des symptômes respiratoires, pouvant être liées à leur mode de vie, est très importante chez les ruraux et nécessite une étude à grande échelle pour valider cette étude
  • Mots clés : symptômes, respiratoires, pollution, domestique, rural

jeudi 9 octobre 2008

Les enquêtes nutritionnelles



Epidémiologie et aspects diagnostiques de la maladie de Biermer au Sénegal

jeudi 25 septembre 2008

Les cardites rhumatismales infracliniques

  • Enseignant: Prof. Jean-Claude PECHERE (Genève, Suisse)
  • Date et heure du cours: jeudi 25 septembre 2008 à 10h TU
  • Lien pour accéder au cours: http://www.dudal.net/dudal/apps/jws/uiclient?/raft/suisse/20080925_1000
  • Lien pour suivre la discussion : http://www.dudal.net/dudal/apps/jws/uiclient?/raft/suisse/20080925_1100
  • Auteurs: Jean-Claude Pechère (Université de Genève), Sabbah Fadouache(Universitéde Marrakech) Mohamed Bouskraoui (Université de Marrakech), Naima Fdil (Université de Marrakech) et Khaled Zdeg (Université de Marrakech).
  • Contexte: Le rhumatisme articulaire aigu a pratiquement disparu dans le monde développé, mais reste prévalent dans de nombreuses régions pauvres du monde : 15,6 millions de malades, 470.000 nouveaux cas annuels, et 233.000 décès attribués. Certaines régions et ethnies sont particulièrement frappées, comme les aborigènes du nord de l’Australie, les maoris néozélandais et les sri lankais. Au Maroc, l’incidence annuelle était de 48 nouveaux cas en 2002, en légère croissance au cours des 10 dernières années : il y a plus de RAA par angine en ville (72/6202/100.000) qu’à la campagne (27/5202/100000), mais plus de cardite par cas de RAA à la campagne qu’en ville.
  • Etude: Nous avons procédé à un examen clinique standardisé de 734 enfants asymptomatiques,fréquenant la même école dans un oasis du sud marocain. Nous avons effectué 596 prélèvements de gorge pour recherche du streptocoque du groupe A (positivité : 35%). Nous avons pratiqué 335 échocardiographies, pour découvrir 17 cardites considérées comme rhumatismales et 3 comme possiblement rhumatismales, soit une prévalence de 2,32% sur l’échantillon total des 734 enfnnts examinés. Seuls deux de ces cas avait des signes auscultatoires d’atteinte cardiaque (prévalence : 0,272%). Les critères échographiques de cardite ont été : une régurgitation d’au moins un centimètre, à au moins 2,5 m/s au pic, holosystolique ou holodiastolique, vue sur deux plans au moins) et/ou un épaississement valvulaire marqué. Cette étude confirme des observations similaires (haute sensibilité de l’échocardiographie et prévalence élevée de cardites rhumatismales), faites au Cambodge et au Mozambique (Marijon E et al. NEJM ; 2007 ; 357 :470-6). Les lieux de vie des enfants ont été analysés, au moyen de l’interrogatoire des parents à l’aide d’un questionnaire standardisé, et les demeures des enfants atteints de cardite ont été systématiquement visitées. Partout, des facteurs favorisants d’infections streptococciques ont été identifiés : utilisation de feu de bois dans les cuisines sans évacuation des fumée, couchage sur le sol avec ou sans matelas, partagé par toute la famille, promiscuité, absence d’eau courante, de lieu de rangement,de lieu de toilette approprié, mauvaise isolation thermique des pièces d’habitation. Par des questions ciblées aux parents, notre étude montre aussi que l’échec de la campagne nationale pour une meilleure prise en charge des angines s’explique au moins en partie par des aspects logistiques : accessibilité du centre de santé, ruptures de stock, lassitude des enfants vis-à-vis des injections douloureuses répétées de benzathine pénicilline, concurrence avec un traitement traditionnel agréable à prendre.
  • Conclusions : 1) L’échocardiographie détecte 10 fois plus de cardites rhumatismales que l’auscultation. 2) La prévalence de la cardite rhumatismale doit être revue à la hausse avec les conséquences médicales, économiques et sociales que cela suppose 3) La prophylaxie primaire des angines telle qu’elle est pratiquée au Maroc, qui suit les recommandations de l’OMS (benzathine pénicilline…) est incapable d’éradiquer les cardites rhumatismales. 4) Nous envisageons la mise en place d’une prévention primordiale, c'est-à-dire de mesures d’hygiène susceptible de réduire la prévalence des angines. 5) Les enfants porteurs de cardites sont suivis longitudinalement pour assurer le suivi et la validation ultérieure des critères échographiques.

Torsion du cordon spermatique: conduite à tenir

Résumé:
La torsion du cordon spermatique est la rotation du testicule autour de l’axe du cordon spermatique provoquant une strangulation vasculo nerveuse résultant en une ischémie du testicule. C’est une affection peu fréquente mais grave parce que menaçant le pronostic vital du testicule. Malheureusement elle est souvent négligée et confondue avec ses diagnostics différentiels notamment l’orchiépididymite. Le but de cette présentation est d’attirer l’attention des praticiens sur cette affection et de les amener à faire à temps le seul geste d’urgence qui est la scrototomie exploratrice afin de sauver le testicule. C’est une urgence dont le pronostic dépend du délai écoulé

jeudi 18 septembre 2008

Les défis internationaux et leurs réponses au niveau régional en matière de la santé des adolescents

Résumé :
La présence de l'adolescence est tellement forte dans la société(occidentale / moderne) qu'on oublie souvent qu'elle n'est pas uneconstante omniprésente dans toutes les cultures et à toutes les époqueshistoriques. Néanmoins, des taches biomédicales et psychosociales(developmental tasks) existent sur le chemin de l'enfance, l'adolescenceet l'âge adulte. Certaines sont universelles. Quelles conséquences pour larecherche en Afrique ?

Tolérance des ARV dans une population de VIH suivi à Befelatanana

Résumé:
La maladie et le traitement antiretroviral bouleversent de plusieurs manières l’univers des personnes vivant avec le VIH.
Nous avons effectué une étude transversale allant du 1er Juin 2007 au 30 Novembre 2007 chez les PVVIH sous traitement ARV et suivis au CHU/HJRB d’Antananarivo. Notre objectif était d’évaluer la qualité de vie des PVVIH. Trente un patients ont participés à cette étude, l’âge moyen était de 39,09 ans, les âges extrêmes étaient de 22 et 64 ans. Les hommes étaient les plus représentés avec comme sex-ratio 1,21, la qualité de vie des PVVIH était améliorée sous traitement ARV, la composante physique était plus altéré que la composante psychique avec notre échelle de mesure. Les effets secondaires des ARV, la sensation d’être marginalisé, ainsi que le manque de soutien familial, étaient principalement identifiés comme responsables de la baisse du niveau de la qualité de vie. Nous n’avions pas notés de corrélation directe entre la qualité de vie et la modification de l’activité sexuelle même si 38,7 % des PVVIH avaient choisi l’abstinence totale. Les patients qui déclaraient ressentir un grand bénéfice des ARV avaient également un score élevé de qualité de vie.

Mots clés : VIH/SIDA, antiretroviraux, qualité de vie, effets secondaires, stigmatisation

jeudi 11 septembre 2008

La recherche en santé publique

Evaluation du statut nutritionnel

jeudi 4 septembre 2008

Conférences OMS-Université de Genève sur l'hygiène hospitalière à l'hôpital central de Yaoundé

Effet des méthodes de contraception hormonales sur le métabolisme osseux

jeudi 24 juillet 2008

Angine

jeudi 17 juillet 2008

Invagination intestinale du nourisson

VIH et nutrition



jeudi 10 juillet 2008

Drépanocytose chez l'enfant

Enquêtes sur les besoins en recherche en matière de santé sexuelle et reproductive dans les pays en développement

jeudi 3 juillet 2008

Principes généraux sur l'amélioration de la performance des systèmes d'nformation sanitaire de routine (SISR) axés sur la santé reproductive

Etat des seins qui peuvent affecter l'allaitement: diagnostic et traitement

jeudi 26 juin 2008

Prise en charge de la malnutrition protéino-énergetique de l'enfant

vendredi 20 juin 2008

Centenaire de la Société de Pathologie Exotique (Institut Pasteur, Paris)



Allocutions d'ouverture

Conférences

Actualités Continents

jeudi 19 juin 2008

Troubles dûs à la carence en iode: évaluation épidémiologique

Paludisme en milieu hospitalier au CHU d'Antananarivo

Objectifs d'apprentissage:

  • Décrire les aspects épidemio-cliniques du paludisme grave à l’hôpital
  • Rappeler le traitement recommandé
  • Identifier les problèmes de la prise en charge

Résumé:

Le paludisme reste un fardeau pour la santé à Madagascar. Dans les centres de santé de base, 20 % des cas de fièvre sont attribués au paludisme présumé. A l’hôpital, deux tableaux sont habituellement rencontré : la forme simple et la forme grave. Cette dernière est due au Plasmodium falciparum, l’espèce plasmodiale la plus fréquente à Madagascar. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic et de l’adéquation du traitement.
Nous avons réalisé une étude prospective sur une période de 18 mois (01 Mars 2006 au 31 Octobre 2007) dans le service des Maladies Infectieuses au Centre Hospitalier Universitaire d’Antananarivo (CHUA). Les méthodes de diagnostics utilisés étaient la goutte épaisse – frottis mince et le test de diagnostic rapide du paludisme. Les critères de l’OMS en 2000 étaient utilisés pour la définition du paludisme grave.
Durant cette période 1192 patients étaient hospitalisés dans le service des Maladies Infectieuses. Parmi les 108 cas de paludisme confirmés (9,1 % des cas), 44 (3,7 % des cas) étaient de paludisme grave. Le sex-ratio était à 2,14. Les âges extrêmes étaient de 17 et 68 ans avec un âge moyen de 34,7 ans. Parmi les 25 malades qui avaient eu une consultation médicale avant leur admission à l’hôpital, 10 avaient reçu de la quinine à la dose de 600 mg/j en intramusculaire pendant 3 jours. Ces consultations avaient lieu dans les 24 h qui suivaient le début des symptômes dans 14 cas sur 25 (56 % des cas). Seulement, 38,6 % des patients (n=17) étaient arrivés à l’hôpital dans les 72 h qui suivaient le début de leur maladie. Les principaux signes de gravité rencontrée étaient les troubles de la conscience (65,9 %), l’ictère (27,3 %), et les crises convulsives (15,9 %). Une association des 2 ou plus des signes de gravité était présente dans 34,1 % des cas. La quinine était utilisée comme un traitement de choix dans 93,2 % des cas. Au début, le traitement était en perfusion intraveineuse puis par la voie orale au bout de 72 h dans 53,7 % des cas. L’évolution était fatale pour 5 malades dont 2 femmes enceintes. Et deux cas de fièvre bilieuse hémoglobinurique (FBH) étaient rencontrés.
En dehors de l’hôpital, le diagnostic de paludisme est le plus souvent un diagnostic de présomption. Le paludisme grave survient en raison d’un retard de prise en charge, par négligence des patients ou de leur entourage, retard de diagnostic, et traitement non adapté.

jeudi 12 juin 2008

Malnutrition protéino-énergétique

Meningite Chez l'enfant

jeudi 5 juin 2008

Contusions abdominales: stratégies diagnostique et thérapeutique

Prise en charge du nouveau-né à la naissance

jeudi 29 mai 2008

Rupture utérine

Les étudiantes sages femmes en Tunisie: Perceptions de la profession

jeudi 22 mai 2008

Bases de la mise en place d'un système d'assurance qualité au laboratoire de biologie médicale

Aucune femme ne doit mourir en donnant la vie ! Accès aux soins obstétricaux et néonatal d'urgence: une question de droit

jeudi 15 mai 2008

Prise en charge de la pré-eclampsie en milieu africain

Résumé:

La prééclampsie est une pathologie gravidique qui se manifeste par une hypertension artérielle apparue après la 20ème semaine et une protéinurie. Elle est relativement fréquente dans le monde, mais sa prévalence est en moyenne deux fois plus élevée en milieu africain que dans les pays développés. Au CHU de Dakar, elle survient chez 1,4 % des gestantes et concerne 15 % des états hypertensifs associées à la grossesse.
Son origine est clairement établie actuellement : il s’agit d’une anomalie de la placentation qui survient autour de la 12ème semaine d’aménorrhée sous l’influence de multiples facteurs d’ordre génétique (antécédents familiaux), physiologique (âge maternel, primigestité, grossesses multiples), pathologique (antécédent de prééclampsie) et socio-économique. En Afrique, le profil épidémiologique des patientes est habituellement celui d’une primigeste jeune avec une distribution selon l’âge en double bosse autour de 25 ans et de 35 ans. Les formes d’apparition tardive après la 29ème semaine sont les plus fréquentes (80 % des cas). L’appréciation de certains critères maternels (pression artérielle diastolique, diurèse, protéinurie, numération plaquettaire, fonction hépatique) et fœtaux (courbe pondérale, uricémie, quantité et coloration du liquide amniotique, rythme cardiaque fœtal) permet de distinguer 2 formes de prééclampsie : une modérée et une sévère. On observe une nette prédominance des formes sévères (88 %), probablement favorisée par le diagnostic tardif et la mauvaise qualité de la prise en charge pré-hospitalière.
L’évolution se fait généralement vers la guérison maternelle sans séquelles après l’accouchement (75 % de nos patientes). Mais le pronostic global reste très péjoratif à cause des complications maternelles et périnatales. Les complications maternelles sont universelles mais leur fréquence est nettement plus élevée en milieu africain que dans les pays développés. Il s’agit de l’hématome rétroplacentaire et de la crise d’éclampsie qui concernent respectivement 7,5 % et 16,4 % des prééclampsies. L’analyse des facteurs de risque chez nos patientes montre que ces complications sont plus fréquemment associées à la primigestité, à la sévérité de l’hypertension artérielle et à la précocité de survenue de la pré-éclampsie. En ce qui concerne le pronostic périnatal, il est également très péjoratif à cause de la mortalité périnatale élevée (470 pour 1000 naissances) et de la fréquence de l’hypotrophie fœtale (15 %). L’analyse des facteurs de risque de mortalité périnatale montre qu’elle est le plus souvent associée à la prématurité, à l’hypotrophie fœtale et à l’existence de complications maternelles. A long terme, les patientes ayant développé une prééclampsie sont exposées à une récidive au cours de la grossesse suivante (10 % dans notre expérience). Les aspects thérapeutiques sont très controversés aussi bien dans l’utilité et les modalités du traitement anti-hypertenseur que dans les indications d’interruption de la grossesse. Les anti-hypertenseurs d’action centrale comme l’alpha-méthyl dopa et la clonidine sont les plus prescrits (80 % de nos patientes), mais les inhibiteurs calciques sont de plus en plus utilisés dans notre pratique (56 %). Notre attitude obstétricale est apparemment très active avec un taux de 65% de césariennes mais la décision opératoire est souvent posée tardivement et en urgence pour un sauvetage maternel et/ou fœtal. La prévention est une voie d’avenir, mais pour l’instant seul l’acide acétylsalicylique a fait la preuve de son efficacité chez les patientes à haut risque.
Mots clés : Prééclampsie, Hypertension artérielle, Eclampsie, Mortalité maternelle

Malnutrition chez l'enfant à Mahajanga

Objectifs d'apprentissage:

  • Dérire le profil épidémio-clinique des enfants malnutris admis au CRENI du CHU de Mahajanga en 2007 ;
  • Décrire les principes de prise en charge des enfants malnutris dans un CRENI à Madagascar depuis fin 2007

Résumé:

La malnutrition infantile à Madagascar est principalement représentée par les carences d’apport protéino-caloriques, soit sous forme de marasme soit sous forme de kwashiorkor. En 2004, il y a eu 4544 enfants malnutris pris en charge dans les différents Centres de Récupération Nutritionnelle Intensive (CRENI) répartis dans toute l’île. Des décès à un taux de 11% des cas étaient enregistrés durant cette période, ce qui reflète la gravité et la difficulté de prise en charge de cette pathologie dans un pays en développement. Le CRENI du CHU de Mahajanga (CHUM) participe à cette prise en charge où un nouveau protocole thérapeutique national a été instauré par le ministère de tutelle en fin 2007.
Nous nous proposons à présenter le profil épidémio-clinique des enfants malnutris admis au CRENI, tout en décrivant les facteurs de risque et causes de décès. Une étude rétrospective et descriptive est réalisée du 1er janvier au 31 décembre 2007. Les patients inclus dans cette étude ont répondu aux critères d’admission, en particulier le rapport Poids/Taille inférieur à 70% et/ou le périmètre brachial inférieur à 110mm et/ou la présence d’œdème carenciel.
Il y a eu 131 dossiers d’admissions retenus, dont 114 nouveaux cas et 17 cas réadmis durant la même année. Le sex ratio était à 1,07. L’âge variait de 5 mois à 9 ans avec la tranche d’âge la plus importante variant de 13 à 24 mois. Les enfants ayant un rapport P/T inférieur à 70% étaient au nombre de 115 (soit 87,78% des cas). Les enfants avec périmètre brachial inférieur à 110mm étaient au nombre de 61 (soit 46,56%). Nous avons diagnostiqué 105 cas (80,15%) de marasme, 15 cas (11,45%) de Kwashiorkor, et 11 cas (8,39%) de malnutrition mixte.
Le statut vaccinal était correct chez 55% de ces enfants, contre 22,9% puis 22,1% d’enfants incorrectement puis non vaccinés. Ces patients étaient issus d’une fratrie de 1 à 3 enfants chez 68,7% des cas. Les mères avaient un niveau d’instruction ne dépassant pas le primaire chez 58% des cas, tout en étant le plus souvent soit célibataires (15,3%), soit vivant maritalement (55%). Parmi les 91 nourrissons admis, 45,8% étaient nourris au sein.
Il y a eu 81 enfants récupérés de leurs malnutritions (61,8%), 6 enfants adressés auprès d’autres services spécialisés (4,6%), 15 enfants ayant abandonné leur traitement (11,5%), et 29 enfants décédés (22,1%), Parmi ces derniers, il y avait 23 enfants atteints du marasme (17,55%), 3 atteints du Kwashiorkor (2,29) et 3 atteints de malnutrition mixte (2,29%). La durée d’hospitalisation de ces malnutris variait 1 heure à 190 jours, avec un intervalle de 16 à 30 jours chez 32,06% des cas.
Nos résultats ont montré que notre CRENI a enregistré un taux de mortalité plus élevé par rapport au taux national rapporté par le service de nutrition du ministère de la santé. Les enfants atteints du marasme s’avéraient plus vulnérables. Ceci s’explique du fait que leur état clinique à leur admission était gravissime, et que leur état de santé initial était lié au mode de vie de leur famille, et probablement au bas niveau socio-économique du pays.

Mots clés : Malnutrition, CRENI, Mahajanga

Références:

  • Données statistiques 2004 – Ministère de la Santé et du Planning Familial.2006 :223-237.
  • Madagascar en chiffres. http://www.instat.mg/MADA/indic.htm
  • Dépistage et prise en charge de la malnutrition aiguë - Ministère de la santé, du planning familial et de la protection sociale Madagascar. Septembre 2007.

jeudi 8 mai 2008

Santé sexuelle et reproductive et droits des personnes vivant avec le VIH/SIDA

jeudi 24 avril 2008

Infection néonatale

jeudi 17 avril 2008

Fistules obstétricales

Réseau de périnatalité: outil d'amélioration de la qualité des soins en santé maternelle et néonatale

jeudi 10 avril 2008

Nourriture des nourrissons de mères HIV

jeudi 3 avril 2008

Personnes ayant un handicap: prévention des violences sexuelles et VIH/SIDA

Indicateur SONU: soins obstétricaux et néonatal d'urgence

jeudi 27 mars 2008

Conservation des vaccins

Douleurs abdominales de l'enfant

Objectifs d'apprentissage :

  • Enoncer les bases physiopathologiques qui sous-tendent les différents phénomènes douloureux perçus au niveau de l’abdomen.
  • Rechercher les éléments du diagnostic clinique dans un abdomen douloureux
  • Hiérarchiser les orientations paracliniques dans un abdomen douloureux
  • Reconnaître certaines étiologies médicales et chirurgicales pédiatriques, selon les données de la clinique (âge, température, sexe…)
  • Adopter une attitude pratique en cas de douleurs abdominales chez l’enfant

Résumé :

Les douleurs abdominales de l’enfant sont un des motifs de consultation et d’hospitalisation les plus fréquents. Elles sont le symptôme de nombreuses affections, médicales (64%) ou chirurgicales (36%), parfois associées.
Ces douleurs se manifestent sous forme plus ou moins frustre ou aiguë, que l’étiologie soit médicale ou chirurgicale. Elles posent essentiellement un problème de diagnostic : urgence mettant en jeu le pronostic vital ou fonctionnel d’un organe, simple constipation, maladie exceptionnelle, causes psychologiques ? Leur étiologie, variant avec l’âge et le contexte géographique, reste méconnue 1 fois sur 2.
L’approche d’un syndrome abdominal est sensiblement la même, que l’étiologie soit médicale ou chirurgicale; l’analyse sémiologique et l’examen clinique étant les étapes essentielles. Le choix des explorations paracliniques doit être justifié ; et leur coût est à prendre en considération.Devant un abdomen douloureux de l’enfant, les pièges sont nombreux. Le praticien doit avoir tous ses réflexes, un sens clinique aigu et raisonner comme un pédiatre et comme un chirurgien, en mettant en oeuvre un esprit de synthèse.

Contact : sylvia.anoma@aviso.ci

jeudi 20 mars 2008

Trois piliers : planning familial, assistance à la naissance, soins obstétricaux et néonataux d'urgence

Diarrhée et Déshydratation de l'enfant

jeudi 13 mars 2008

Circoncision

Asthme de l'enfant

jeudi 6 mars 2008

De l'accoucheuse traditionnelle à l'étudiante sage femme : une identité en évolution

Notions de base en santé publique

Objectif d'apprentissage :

  • Etre capable de comprendre à la fin de l'exposé que la santé publique comme toute discipline enseignée repose fondamentalement sur le nombre.

Résumé :

La santé publique est la science et l'art de prévenir les maladies, de prolonger la vie et d'améliorer la santé et la vitalité mentale et physique des individus. Ceci par le moyen d'une action collective concertée visant à assainir le milieu , lutter contre les maladies, et mettre en oeuvre des mesures sociales adéquates. Elle s'appuie sur un certain nombre de notions de bases indispensable pour apprendre et comprendre l'exercice de la médécine. Ces notions constituent un véritable outil mathématique utile à tout médecin, et elles doivent être le creuset de notre action quotidienne.

Nous tenterons tout au long de cet exposé de repondre aux questions suivantes:

  • Quelle est la fonction du cerveau humain ?
  • Quelle est l'origine des maladies?
  • Quelle relation entre santé mentale et enfance?

jeudi 28 février 2008

Drainage thoracique

Objectifs d'apprentissage :

  • Savoir ce qu’est un drainage thoracique
  • Savoir faire un drainage thoracique
  • Surveiller le système de drainage thoracique

Résumé :

Cette étude prospective et descriptive qui s’est étendue de Juin 2007 à Décembre 2007 (six mois) dans le service de chirurgie A de l’Hôpital National du Point G, au Mali, avait pour objectif d’analyser les activités de drainage thoracique percutané dans le service de Chirurgie A.
L’étude a porté sur quarante (40) malades. On note une prédominance masculine avec un sexe ratio de 2,07 et une prédilection pour la tranche d’âge de 30 à 39 ans. Toutes les couches sociales sont touchées, le faible niveau socio économique est un facteur favorisant car 25 % de nos malades sont des ménagères. Avant l’admission dans le service de Chirurgie A pour drainage Quatorze (14) de nos malades soit 35 % on bénéficié d’au moins une ponction d’évacuation dans leur service d’origine. Le jour moyen d’hospitalisation était de 7,5 jours avec des extrêmes allant de 0 à 30 jours. La principale indication de drainage était les pyopneumothorax soit 27,5% de nos malades. L’espace le plus drainé était le 4 EICD. 80% de nos malades sont guéris sans séquelle. Le coût moyen variait entre 38.500 et 92.000 F CFA.

Fentes labio-palatines

Objectifs d'apprentissage :

  • Citer les différentes formes anatomiques de fentes labiopalatines
  • Citer les facteurs incriminés dans la survenue de fentes labiopalatines
  • Décrire le syndrome de Pierre Robin
  • Citer les différents intervenants dans la prise en charge de ces enfants
  • Planifier le traitement des fentes labio-palatines

Résumé :

Les fentes labiales et labio-palatines sont les plus fréquentes malformations de la face. Les formes anatomiques sont variées ainsi que les techniques opératoires. Le calendrier thérapeutique est différent d’une équipe à l’autre.
Cette malformation est traitée en Côte d’Ivoire depuis 1969. De 1989 à 2004, 287 enfants ont été traités. Au plan épidémiologique tous les groupes ethniques de notre pays sont concernés, la sex-ratio était de 1.25, la consanguinité a été retrouvée dans 5,5% des cas et les formes familiales dans 1,39% des cas.
Les formes labiales ou labiopalatines unilatérales étaient les plus fréquentes (81,14%) et le côté gauche était atteint dans 71,14% des cas.
Les résultats du traitement plastique de la lèvre jugés selon les critères de l’Eurcleft sont satisfaisants, mais les prises en charge orthophonique et orthodontique restent à améliorer par une étroite collaboration entre les intervenants (Chirurgiens pédiatres, orthophonistes orthodontistes, généticiens, Oto-rhino laryngologistes).

jeudi 21 février 2008

Information et consentement du patient

Mycoses profondes : difficultés de prise en charge

jeudi 14 février 2008

Introduire la méthode des jours fixes (méthode du collier) en planification familiale

Documents concernant la Méthode des Jours Fixes:

Objectifs d’apprentissage :

  • Expliquer comment la Méthode des Jours Fixes et le Collier du Cycle® fonctionnent
  • Résumer la base scientifique et l’efficacité de la méthode
  • Expliquer comment la méthode est offerte
  • Décrire comment et pourquoi les programmes autour du monde adoptent cette méthode

Résumé :

La Méthode des Jours Fixes® (MJF), méthode simple et efficace de planification familiale basée sur la connaissance de la fécondité, est une approche novatrice visant à répondre à un besoin non satisfait. Elle a été mise au point et testée par les chercheurs de l’Institut pour la Santé Reproductive de Georgetown University, Washington DC. Les résultats de l’étude d’efficacité indiquent que les femmes peuvent utiliser la méthode de manière correcte et qu’elle était efficace à plus de 95%—rentrant bien dans la fourchette de nombreuses autres méthodes. Cette méthode aide les programmes à élargir les options en matière de PF et de répondre à la demande pour une méthode naturelle, simple et efficace qui est facilement intégrable dans une variété de programmes de prestation de service publics ou privés. Ce cours est une occasion de donner une orientation sur cette méthode. Les femmes ayant des cycles menstruels qui durent de 26 à 32 jours peuvent utiliser la MJF pour prévenir la grossesse en évitant les rapports sexuels non protégés du 8e au 19e jour de leur cycle. La Méthode des Jours Fixes utilise le Collier du Cycle®, collier de perles colorées, qui aide une femme à suivre les jours de son cycle, à savoir les jours où elle peut tomber enceinte ainsi que la durée de ses cycles. Intégrée parmi les autres méthodes, le conseil sur la MJF suit l’approche utilisée pour offrir les méthodes de PF. Une fois que la méthode est choisie par le client, le prestataire EVALUE si la méthode est indiquée pour la femme, INFORME le couple de la manière dont fonctionne la méthode et SOUTIENT l’utilisation au sein du couple. La méthode peut-être offerte aussi bien au niveau des Formations Sanitaires qu’au niveau de la Communauté. L’introduction de la méthode a été faite par des programmes dans certains pays en Amérique Latine, Asie et en Afrique et se trouve maintenant dans une phase de la mise à grande échelle dans les pays.

Informatisation des données d'un service de gynéco-obstétrique

jeudi 7 février 2008

Femme et procréation à l'orée du 21ème siècle: un rapport en nette mutation

Management de l'absence

jeudi 31 janvier 2008

Faire de la recherche : une démarche et un état d'esprit

Veille documentaire

jeudi 24 janvier 2008

Besoins énergétiques chez l'homme: situations de déficit et de pléthore

jeudi 17 janvier 2008

Insuffisance rénale chronique: prise en charge

jeudi 10 janvier 2008

Polytraumatisés pédiatriques: prise en charge initiale

On en parle sur Afriqu'Echos...